Personne ne peut simplement évoquer sa mort. En revanche, les conséquences et les coûts associés doivent être abordés.

En premier lieu et très naturellement, le coût des obsèques. Prévoir un capital dédié, qui sera versé quel que soit le moment du décès (y compris quand la plupart des contrats de prévoyance limitent leur prestations décès à 75 ans, alors que statistiquement il survient au-delà), est un acte cohérent et judicieux. Avant tout pour éviter à sa famille d’avoir à le gérer, dans un moment qui n’a rien de facile.

Spécifiquement, protéger sa famille en cas de décès, c’est avant tout faire un audit des garanties existantes et de leur concordance avec les besoins (voir la rubrique « Assurance crédit » et « Assurance vie »). On peut s’attarder sur un besoin particulier : les enfants. Particulier, parce que le besoin dure longtemps et peut être progressif. Un capital est donc rarement la solution (ce serait extrêmement facile de se tromper en l’évaluant !).