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Il s’agit certainement du sujet le plus complexe et le plus important.

Complexe, parce que chacun a des besoins différents, liés à son statut, son activité, ses revenus, sa situation familiale, patrimoniale, professionnelle… Complexe aussi parce qu’il n’y a pas de réponse unique à une problématique donnée. Et notamment, chaque assureur a des définitions différentes de concepts qui sont censés être similaires. Parce que chaque assureur n’appréhende pas le risque de la même façon.

Important, parce que s’assurer contre les risques d’accident ou de maladie, provoquant un arrêt de travail de quelques semaines ou quelques mois, ou une invalidité pendant plusieurs dizaines d’années, ou le décès… a des incidences qu’on ne mesure pas tant que le risque n’est pas survenu. Et pourtant, qui peuvent être catastrophiques.

Comme il est difficile de convaincre, d’expliquer, de faire passer ce message pourtant si évident : personne n’est à l’abri d’un accident ou d’une maladie grave. Et quelques minutes avant l’évènement déclencheur, personne n’est suffisamment préparé. En revanche, les conséquences sont faciles à visualiser. Donc de mon point de vue, il est aussi facile de s’assurer. Et de bien s’assurer.

Que l’accident (ou le déclenchement d’une pathologie) survienne un dimanche ou un lundi, à Marseille ou à Dubaï, qu’on travaille ou qu’on fasse du sport… c’est la conséquence qu’il faut mesurer

Un arrêt de travail temporaire (ITT, incapacité temporaire de travail…)...

Est l’altération de l’état de santé, avec un espoir de rémission. Exemple : une jambe cassée suite à un accident. Ou le syndrome du canal carpien. Ou une grippe…

On doit se reposer, sur avis médical. Suivre un protocole, des soins, subir une intervention chirurgicale… Et après quelques mois (a maxima, 3 ans), on est sur pieds !

Une invalidité : soit à l’issue des 3 ans d’arrêt de travail temporaire...

Soit plus tôt, si une chronicité s’installe dans l’état de santé dégradé… il reste alors à évaluer le taux d’invalidité (voici un sujet particulièrement délicat, qui ne met pas tous les contrats de prévoyance sur un pied d’égalité : qui évalue le taux ? qui est l’expert ? qui le nomme ? quel mode de calcul est utilisé ? quel barème est utilisé pour le cas clinique ?…). Si on ne discute pas de ces sujets en amont avec son assureur, on risque de découvrir un peu tard que le contrat génial qu’un courtier nous a vendu, et qui coûtait 15 % de moins que le marché… n’apporte finalement pas les garanties escomptées. Or… s’agissant de l’invalidité, c’est potentiellement plusieurs dizaines d’années de prestations qui sont en jeu !

Le décès. Protéger sa famille en cas de décès...

C’est évaluer le coût d’une disparition et les besoins au quotidien qu’il faudra assumer. Ceci peut s’articuler autour d’un capital, d’une pension de conjoint, de rentes éducations.

Par ailleurs, certaines garanties existent, versées par les régimes obligatoires. Il s’agit donc de vérifier si le contrat est forfaitaire (versées en fonction des conditions particulières, sans justificatif lors du sinistre) ou indemnitaires (à concurrence a maxima des revenus réels justifiés des 2 années précédent le sinistre). Et il y a même un schéma encore pire que la formule « indemnitaire », ce sont les contrats qui versent une prestation SOUS DEDUCTION des régimes obligatoires. Dans ce dernier cas, par exemple : si on est assuré pour 100, mais qu’on peut justifier seulement 70, et que les régimes obligatoires ont versé 20, on touche donc… 50. Alors qu’on a payé pour 100 !

Bien évidemment, le contrat CAP AGIPI que nous diffusons pour couvrir les besoins de prévoyance est forfaitaire pour tous les TNS. Et apporte des réponses spécifiques à toutes les problématiques soulevées : modularité des prestations en cas d’arrêt de travail, définition de l’invalidité en regard de l’activité réelle…

Une étude spécifique et personnalisée est toujours requise avant l’établissement de tout devis. Parce que ce qui est important, ce n’est pas la mise en place du contrat. C’est ce qui se passera quand on en aura besoin.

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